Formation donnée à Namur, le 08/12/2012.
>>> Découvrez ici la version 2013 <<<
Des prolongements sont disponibles sur ce site, notamment dans la catégorie Médias.
Formation donnée à Namur, le 08/12/2012.
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Des prolongements sont disponibles sur ce site, notamment dans la catégorie Médias.
Prolongements de la présentation donnée en tant qu’intervenant invité par Patrick Verniers à son cours de « Médias, culture et éducation » à destination d’étudiants en Information et communication (Bac 3) à l’Université catholique de Louvain (UCL), Louvain-la-Neuve, le 12/11/2012.
L’exposé a porté sur les débouchés professionnels dans le secteur socioculturel, les résultats de mon mémoire (2009) et sur des investigations scientifiques telles que mon dossier intitulé Les apprentis sorciers de l’éducation aux médias (2012).
Des prolongements sont disponibles sur ce site, où ces documents sont publiés en accès libre, et où l’on peut également prendre connaissance de certains de mes positionnements épistémologiques, éthiques et éducatifs (cf. catégories du même nom).
L’étude des schémas narratifs et des récits les plus courants permet de comprendre en partie la mise en forme et la construction, de l’information, du scoop, de l’événement.
Un passage élagué de mon essai Médias : influence, pouvoir et fiabilité (2012).
Après avoir publié nos échanges avec le philosophe Pierre Lévy (« médias, culture et cognition »), nous nous sommes entretenus une soirée avec Boris Libois. Retranscription intégrale.
Boris Libois a un profil qu’il est difficile de résumer en quelques mots. Lui-même peine à s’attribuer des étiquettes et se qualifie avec le sourire de « cerveau volant » ou d’extra-terrestre qui n’est « spécialiste en rien ». Son parcours est en effet marqué d’un grand éclectisme. Nous en épinglons de brefs passages, relatifs aux thèmes qui nous intéressent ici : les médias (le journalisme en particulier), leur éthique et leur régulation.
Boris Libois a étudié le droit, la philosophie et le journalisme à l’ULB. En 1994, il publie Éthique de l’information : essai sur la déontologie journalistique (ouvrage que j’ai découvert et chroniqué en 2007 dans le cadre d’un cours). Son doctorat en philosophie est accompagné d’autres publications, dont un second livre en 2002, La communication publique : pour une philosophie politique des médias. Dans la foulée, dès 1997, son engagement politique l’amène à travailler pour le Conseil Supérieur de l’Audiovisuel. De 2009 à 2013, il est professeur à l’ISFSC, où il donne entre autres des cours de philosophie des médias et de la communication.
(Source et pour en savoir plus : profil LinkedIn de Boris Libois).
Cet article fait suite à ce témoignage relayé par La Libre : selon « un cousin » interviewé par Paris Match (nous faisons ici abstraction de la question de la fiabilité de la source présentée de la sorte), Michelle Martin « ne se sentait pas coupable » de ses actes :
« Au contraire, cette Michelle de l’après 1996 m’a semblé déterminée dans l’organisation méthodique de sa défense. Laquelle consistait à répéter à l’envi qu’elle n’était en rien responsable de toutes les horreurs qui avaient eu lieu (…) Elle ne se sentait pas coupable ».
Je n’ai pu résister au lien manifeste entre cette déclaration et l’analyse que fait Hannah Arendt à propos d’Adolf Eichmann (cf. Eichmann in Jerusalem (en) sur Wikipedia, la « banalité du mal » dans le lexique ou encore mon article sur les questions de la finitude humaine).
Sources bibliographiques et liens qui ont permis de constituer le dossier.
Dans les articles précédents concernant les « apprentis sorciers » (dossier), nous avons fait état de dérives typiques de leurs pratiques qui se revendiquent de l’éducation aux médias. Ensuite, nous avons évoqué les enjeux de cette discipline et les implications didactiques issues de notre constat de l’existence de pédagogies et partis pris peu propices à la réflexion critique. Nous avons enfin expliqué comment ces finalités abstraites peuvent se subdiviser en compétences à développer. Dans ce sixième et dernier numéro, nous évoquons des pistes pédagogiques en termes de contenus et méthodes concrètes.
Dans les précédents articles du dossier, nous avons fait état de dérives typiques des « apprentis sorciers » de l’éducation aux médias. Ensuite, nous avons évoqué les enjeux de cette discipline et les implications didactiques issues de notre constat de l’existence de pédagogies et partis pris peu propices à la réflexion critique. Dans ce cinquième numéro consacré aux « apprentis sorciers » de l’éducation aux médias, nous expliquons comment ces finalités abstraites peuvent se subdiviser en compétences à développer.
Dans les précédents articles du dossier, nous avons fait état de dérives typiques des « apprentis sorciers » de l’éducation aux médias. Dans ce numéro 4 des « apprentis sorciers » de l’éducation aux médias, nous évoquons les enjeux de cette discipline et les implications didactiques issues de notre constat de l’existence de pédagogies et partis pris peu propices à la réflexion critique.
Cet article fait état de dérives typiques des « apprentis sorciers » de l’éducation aux médias.