Documentation ciblée : sciences humaines et sociales.
- Sciences de l’homme et de la société – Canal-U
- Classiques des sciences humaines et sociales. Exemples : René Descartes, Discours de la méthode (1637), BACHELARD G., La formation de l’esprit scientifique, Paris : Vrin, 1967 (1934).
- ISIDORE – Accès aux données et services numériques de SHS
- La vie des idées – laviedesidees.fr
- Nonfiction.fr le portail des livres et des idées
- Patrick Declerck, Les Naufragés : avec les clochards de Paris, Paris, collection « Terre Humaine », Plon, 2001. Un livre que j’ai lu en 2007 ou 2008, que je recommande. La partie « psychanalytique » m’a moins intéressé, mais l’observation participante étayée est un acte non seulement très riche en termes de connaissances, mais aussi fort courageux.
- LAKOFF G. & JOHNSON, M., Les métaphores dans la vie quotidienne : fiche de lecture de P. Fastrez
- Peut-on ne pas être constructiviste ? Je dirais qu’il existe un constructivisme épistémologique en un sens moins radical, réaliste, que celui dont le texte traite. Cf. Enjeux philosophiques des médias et de l’éducation aux médias – Partie Questions de vérité – Questions d’épistémologie – distinction entre constructivisme réaliste et constructivisme nominaliste. Je suis particulièrement d’accord avec cet extrait. Le constructivisme « nominaliste » n’a pas besoin du réel. Un enjeu relatif au constructivisme réside dans la question suivante : dire que le discours/la pensée du social est une construction implique-t-il de dire que toutes les constructions se valent ? Le texte pose la question ici. Pour l’auteur, le constructivisme (nominaliste) engendre soit un relativisme, soit un « charcutage » ontologique dualiste. C’est comme la dualité objectif (réel) – subjectif (construit). Si tout est construit, peut-on dire des choses plus vraies que d’autres ? Ici, il fait intervenir du perspectivisme. L’auteur plaide enfin pour une forme de « retour » au réalisme, et à ce que j’appelle un constructivisme réaliste. En gros le propos consiste à dire que le constructivisme « se perd » s’il se prétend analyse (objective !) des constructions indépendamment du réel. Gardes-fous identifiés : l’expérimentation – le terrain – le contexte (vérité-adéquation), le contrôle par les pairs (vérité-consensus), la cohérence paradigmatique (vérité-cohérence).
- Théories du complot : pourquoi le cerveau s’emmêle quand il s’en mêle ? L’article aborde des questions en lien avec mon dossier « Enjeux épistémologiques et éthiques des médias et de l’éducation aux médias ». Thèmes abordés : vérité, fiabilité (et donc mensonge), foi et cognition, le tout en lien avec des notions morales (bien / mal, utilitarisme, « déontologisme », intérêt/désintérêt, etc.)… L’article arrive à citer Didier Super après avoir mentionné Kant, Platon, Rousseau ou encore Mill 😉
- We Are All Confident Idiots
- The man who studies the spread of ignorance
- Il est important de savoir comment l’ignorance est produite
- De la poule ou de l’oeuf (expériences de psychologie sociale)
- Moralized Rationality: Relying on Logic and Evidence in the Formation and Evaluation of Belief Can Be Seen as a Moral Issue
- Narrativité, narration, narratologie : du concept ricœurien d’identité narrative aux sciences sociales
- Chaine Youtube Langues de Cha
- Collectif Café des sciences